Au moins trois générations de Marocains n’ont connu que lui, jusqu’à associer son nom avec la CDT, et cette longévité il l’assume et la revendique.
En 2001, le défunt délaisse sa formation historique l’USFP pour participer à la création d’un nouveau parti, le Congrès national Ittihadi (CNI), aux côtés de son ami Abdelmajid Bouzoubaâ.