Entre le discours royal du 7 novembre 2020, à l’occasion du 45ème anniversaire de la marche verte et les propos de certains responsables algériens et les menaces du polisario, il n’y a pas photo. A l’heure où le Maroc œuvre pour la construction, ses ennemis prônent la destruction et la désintégration.
Les propos de l’ex-premier ministre algérien Abdelmalek Sellal tenus ce 4 novembre lors du procès Tahkout en Algérie et dans lequel il fait face à de lourdes accusations de blanchiment d’argent et corruption, feront date !
Questionné par le procureur général sur les dégâts causés par Tahkout estimés à 34 milliards de dinars algériens, A. Sellal répond que l’objectif était de détruire un Etat voisin avec le montage de voiture. Voilà qu’est dit tout haut, ce qui se trame tout bas.
Objectivement, c’est du jamais vu dans les annales de la politique !
Et il ne faut pas être devin pour comprendre qu’il s’agit du Maroc dont l’industrie automobile fait pâlir. Au point que la politique sectorielle de nos voisins repose sur la seule ambition de nous détruire (sic) !
Et tous les moyens sont bons. Quand sur le plan politique, le polisario se prend un râteau, notamment sur la scène internationale, alors sur le plan économique, notre voisin de l’Est brade à défaut d’avoir des arguments de taille pour tenir le haut du pavé. Encore faut-il prouver qu’on agit pour le bien général et non l’intérêt personnel !
Sauf qu’il ne suffit pas de propos triviaux ou de faire sonner les tambours de la guerre encore moins de détruire l’asphalte à Guergarate pour nourrir les hommes et faire prospérer un pays encore moins détruire son voisin. Loin de là.
Cela donne plutôt une image pathétique de ce que c’est la gestion de la chose publique lorsqu’on n’a pour seule ambition que la destruction. Cela s’appelle la gabegie.
De l’autre côté de la frontière, au Maroc, les succès se succèdent aussi bien sur le plan diplomatique que sur le terrain économique.
En effet, les provinces du Sud marocain occupent une place de choix dans les politiques et priorités de l’Etat marocain.
De l’initiative d’autonomie marocaine proposée en 2007 et qui fait l’unanimité internationale au lancement du modèle de développement des Provinces du Sud en 2015 et dont les contours ont été déclinés lors du discours royal du 6 novembre 2015 prononcé à Laâyoune.
Un programme en passe de métamorphoser cette région.
Enfin, le discours du Roi du 7 novembre 2020 donne une leçon cinglante aux ennemis de notre intégrité territoriale, dans l’art et la finesse qui siéent à un Souverain, Homme d’Etat et de chef clairvoyant qui œuvre pour la prospérité de son pays et des siens, tout en pensant à ses voisins pays africains qui partagent le même destin.
En effet, depuis le début de son règne, Mohammed VI n’a de cesse jeter les jalons de l’intégration régionale et continentale en faveur d’une solidarité interafricaine et d’une plus grande prospérité des populations.
Pendant ce temps, nos ennemis nourrissent vilement une chimère et condamnent une génération de plus à vivre dans les affres des camps de Tindouf.
Sans oublier qu’à l’heure où les chaînes de valeur régionale prennent le relais face à la crise actuelle et que les communautés économiques s’organisent pour faire front commun contre le choc provoqué par la crise sanitaire, le polisario et ses acolytes continuent à tirer vers le bas toute la région de l’Afrique du Nord et lui fait perdre de précieux points de croissance futilement.
Finalement, pour qui roule le polisario ? Il roule pour un projet funeste de bloquer une intégration régionale avec à la clé un marché communautaire de plus de 100 millions d’habitants et dont la jeunesse aspire à un présent meilleur.
Pis encore, le polisario est devenu le carrefour des réseaux de traite humaine, de trafics en tous genres et de terrorisme menaçant la paix et la stabilité de plusieurs pays.
Et il fait surtout un bras d’honneur à une région qui a une culture et une histoire commune, œuvrant dans l’ombre à la séparation en lieu et place de l’union.
Face à l’anxiété, le branle-bas le bruit de bottes inaudible, le Maroc demeure impassible et poursuit la voie qu’il a tracée.
Inutile même de faire la comparaison car on ne peut comparer l’incomparable. L’un édifie, l’autre détruit.
« Le Maroc, fidèle à lui-même, ne se départira pas du bon sens et de la sagesse dont il a coutume. En revanche, c’est avec la dernière vigueur et la plus grande fermeté qu’il s’opposera aux abus cherchant à porter atteinte à la sécurité et à la stabilité de ses Provinces du Sud », extrait du discours royal du 7 novembre 2020. Un coup de grâce royal aux velléités obscènes des buses nourris d’une haine viscérale pour le Maroc et les Marocains.
La messe est dite !
3 Commentaires
Il faut écraser ses ordures de nos voisins de l’est avec leurs Bâtards du Polisario pour en finir.De leurs bouches sort que de la tchatche et uniquement de la tchatche.
Gloire et longue vie à notre ROI ainsi qu’à notre armée Royale qui veille nuits et jours sur nos provinces de notre Sahara.
l’Algérie tant qu’elle fait de ses projets économiques ,des priorités pour détruire d’autres économies voisines ,restera toujours dans la nostalgie d’une idéologie de communisme et de pouvoir totalitaire révolu ,qui ai fait faillite à plusieurs pays .on pratique le communisme ,quant on n’a rien à offrir à notre population. Le PIB algériens est assez gras pour apporter prospérité et richesse n’ont pas aux algériens ,mais aux peuples voisins s’il était aux . mains de la bonne gouvernance .même les pays développés ne gaspillent pas ces sommes colossales sous prétexte d’acheter des armes des peur d’être menacée par des voisins qui ne cherchent que paie et épanouissement économique .En effet celui qui fait la révolution pour proscrire le colonialisme n’est pas toujours le bon gestionnaire d’un pays au moment de la paie.
notre pays a ses pieds bien ancrés à son territoire,ce n’est pas un pseudo »géant » aux pattes d’argile qui va pouvoir nous détruire,et si preuve en est,il suffit de voir ce que notre belle patrie sous la clairvoyante direction de notre AUGUSTE SOUVERAIN a pu réaliser en un temps record,alors que malgré leurs richesses en hydrocarbures,les algéro-polizabaliens traînent de lourds boulets de sous-développement dans tous les domaines