Depuis le discours de SM le Roi appelant le gouvernement, le parlement et les différentes institutions ou instances concernées à reconsidérer le modèle de développement du pays, ce chantier s’invite à tous les débats politiques, économiques et environnementaux.
Etat des lieux, limites du modèle actuel, pistes pour repenser un nouveau modèle…, autant de points qui sont soulevés par les différents acteurs de la société.
L’Association ribat Al Fath y a consacré une journée d’étude sous le thème « Pour un nouveau modèle de développement : L’environnement, la médiation et les ONG ».
En marge de cette rencontre, Ahmed Arafa, Ex Wali, Secrétaire général du ministère de l’Intérieur, Expert en Gouvernance et développement territorial est revenu sur le développement durable territorial. Fort d’une longue expérience dans la gestion de la chose publique, Ahmed Arafa estime que les politiciens, les élus, les citoyens ainsi que la société civile sont en décalage par rapport à ce qui doit être fait et par rapport à ce qui doit être exigé. Il appelle tous les acteurs du changement à assumer leur part de responsabilité et de compétence qui leur est attribuée par la Constitution.
Mais alors, où en sont nos politiciens, élus, citoyens et société civile de l’approche volontariste et participative requise pour l’élaboration d’un nouveau modèle de développement repose en grande partie sur une approche? Quelle analyse faut-il faire de la gestion de la chose publique ?
La réponse en vidéo