La 7ème édition du Congrès International de l’Arganier qui s’est clôturée ce 12 mai à Essaouira a constitué une étape phare dans le renforcement de l’approche structurante du Maroc pour ce trésor national naturel et culturel, et levier d’inclusion économique notamment des femmes.
Au-delà du partage des acquis de la recherche scientifique sur l’Arganier en tant que levier de développement, ce congrès a été l’occasion de celer des partenariat et de présenter des innovations répondant aux exigences futures tout en traitant des mesures et précautions nécessaires pour favoriser l’utilisation durable des ressources de la biosphère de l’Arganeraie.
Organisé par le Ministère de l’Agriculture, de la Pêche Maritime, du Développement Rural et des Eaux et Forêts, l’Agence Nationale pour le Développement des Zones Oasiennes et de l’Arganier (ANDZOA), ainsi que l’Institut National de la Recherche Agronomique (INRA), ce congrès a été le conclave d’une intense activité scientifique, avec la présentation de plus de 120 communications réparties en quatre axes thématiques. Des sessions plénières, des présentations scientifiques, ainsi que des événements satellites, tels que le Prix Jeunes Chercheurs, ont enrichié les échanges et favoriser les synergies entre les participants.
D’ailleurs, un nouveau palier a été franchi avec la signature d’un important partenariat entre l’ANDZOA et le Centre national de l’arganier (CNA).
Le congrès a déjà suscité un vif intérêt auprès de la communauté scientifique, avec un appel à communication lancé dès le 17 janvier 2024. Les résultats de l’évaluation par le comité scientifique ont été communiqués le 25 mars 2024, ouvrant la voie à la finalisation des résumés avant la publication des actes du congrès le 31 juillet 2024.