Allianz a publié son 13e baromètre de l’année 2023. Les répondants ont été inerrogés au cours des mois d’octobre et de novembre 2023. L’enquête s’est concentrée sur les grandes, petites et moyennes entreprises. La modification de la législation et de la réglementation (sanctions, protectionnisme, désintégration de l’UE) est considéré comme étant le 1er risque auquel est confronté le Maroc.
Le 13e baromètre des risques d’Allianz intègre les points de vue de 3069 personnes interrogées dans 92 pays et territoires. L’enquête annuelle sur les risques d’entreprises a été menée auprès des clients d’Allianz, des courtiers et des organisations professionnelles de l’industrie.
Les répondants ont été inerrogés au cours des mois d’octobre et de novembre 2023. L’enquête s’est concentrée sur les grandes, petites et moyennes entreprises.
La plupart des réponses concernaient les grandes entreprises (supérieur à 500 millions de dollars de chiffre d’affaires annuel (41% des répondants), entreprises de taille moyenne (100 millions de dollars à 500 millions de dollars de chiffres d’affaires) ont contribué à 792 répondants (26%), tandis que les petites entreprises (inférieur 100 millions de dollars de revenus) ont produit 937 répondants (30%). Des experts en risques de 24 secteurs d’activité ont été présentés.
Les changements de classement dans le baromètre des risques d’Allianz sont déterminés par les positions d’une année sur l’autre, et non par des pourcentages.
Sur le plan mondial, le premier risque est l’interruption d’activité (y compris la perturbation des chaînes d’approvisionnement), le second est celui des catastrophes naturelles.
Le 3e est relatif à la modification de la législation, de la réglementation. Et le 4e est lié à l’évolution macroéconomique.
Au Maroc, le top 10 des risques sont les suivants :