The NOPO a mis en place une plateforme d’e-commerce dédié au secteur de l’artisanat marocain, les connectant au marché international.
« The NOPO ne remplace pas les voyages, mais il peut vous connecter à des endroits éloignés et vous donner une impression d’exotisme tout en soutenant les artisans locaux gravement blessés par le manque actuel de tourisme », a expliqué Kelly Breakstone Roth, Co-fondateur et CEO de NOPO.
The NOPO maintient également un processus de sélection minutieux pour assurer une haute qualité des produits artisanaux sur toute la plateforme, visant à devenir une plateforme incontournable pour l’artisanat artistique et authentique et offrant aux artisans une plateforme émouvante et tournée vers l’extérieur.
À travers The NOPO, Roth et son associée Shany Harel consolident l’importance du digital pour promouvoir le secteur de l’artisanat et préserver cet héritage marocain dans un esprit contemporain. Car si de nombreux artisans ont leur propre site, la plupart d’entre eux ne se font presque jamais une vision ou une influence. Ensuite, il y a aussi le problème de disposer d’un paramètre d’expédition et de paiement international viable.
A cet égard, The NOPO a apporté une grande satisfaction aux artisans dont les revenus ont toujours fluctués avec la saisonnalité du tourisme, ce qui était certainement un problème qui nécessitait une solution avant la crise sanitaire et la suspension des voyages touristiques.
Plus de 20% de la main d’œuvre marocaine, soit environ 400.000 artisans, dépendants, entièrement des ventes provenant du tourisme.
Les artisans ont répondu positivement au soutien marketing et logistique offert par The NOPO, ils aspiraient également à faire partie d’une communauté d’artisans partageant les mêmes valeurs et les mêmes normes de qualité et de durabilité. The NOPO compte désormais de nouveaux artisans chaque jour, demandant à rejoindre la plateforme.
De plus, l’équipe propose un soutien opérationnel pour aider à éliminer un certain nombre de défis auxquels les artisans sont confrontés pour accéder au marché mondial, et c’est précisément ce processus qui a transformé les toutes premières conversations avec les artisans en véritable collaboration ancrée dans un sens de mission partagée.